Ce soir au Téléphone sonne: les "class action" à la française.
Le patronat, "vent debout" contre le projet.
Ils ont la trouille des clients abuseurs.
Comme s'il n'y avait pas des juges et des lois pour filtrer.
Les patrons français (et pas mal d'autres aussi),
n'aiment pas les salariés revendicatifs;
n'aiment pas les Etats intrusifs (mais ils prennent les aides);
n'aiment pas les clients qui risqueraient de faire valoir leurs droits.
Les patron (et les actionnaires, supérieurs directs) contre le monde entier... si ce monde ne se comporte pas en béni-oui-oui lobotomisé à la pub et à la propagande perpétruelle... (le "r" en trop est une faute de frappe, mais je la laisse)
Encore une porte ouverte d'enfoncée, tiens... quoique...