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  • privé vs. public : un exemple

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    (avec des si...)

    Et maintenant que le gouvernement a changé d'avis (il n'y a que les imbéciles qui...) sur la taxe écolobidule, c'est le bordel.

    SI tout ça avait été géré en interne, et pas en PPP  on n'aurait pas ces problèmes de personnels, de dédit, de procès, etc.

    On réaffectait les fonctionnaires sur d'autres... fonctions, et hop. ça aurait coûté, mais nettement moins cher.

    Mais non. Il faut ajouter à un système imparfait - l'administration publique - un autre système imparfait sur d'autres plans: le privé.

     

  • Un intéressant "édito éco" ce matin sur France Inter

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    Le représentant des Echos, lequel a le monopole (sic) de cette tranche éditoriale, exprime donc sur Inter son amour de Gogueul, de la technologie (qui sauvera l'homme - riche - de la mort) et du capitalisme, ce qui ne surprend pas.

    Quelques remarques, tout de même...

    Il signale avec justesse qu'il faut se méfier de l'usage des données personnelles... sans noter que les milliards utilisés pour effectuer les recherches des NOUVEAUX gadgets viennent justement de la vente de ces données. Pas grave.

    Il apprécie beaucoup la dernière invention en date, qui utiliserait des nano-particules pour aller détecter les maladies dans le corps humain.

    Notre économiste n'étant ni médecin, ni toxicologue, il n'a pas jugé bon de remarquer la très probable catastrophe de santé publique que représentent ces nano-particules, dont la science elle-même reconnaît la dangerosité (cf mes notes précédentes sur le bouquin de Roger Lenglet).

    On ne peut pas promouvoir le paradis techno-capitaliste (qui doit toujours avancer, incapable qu'il est de mettre les pieds par terre) et en reconnaître les risques les plus graves. On ne peut pas faire de propagande sans casser quelques oeufs.

    Les nano sont l'amiante du XXIe, mais comme d'habitude les économistes ne veulent/peuvent pas le voir.