Julian Assange s'est donc rendu à la police britannique ce matin.
Il me semble que les politiciens américains et leurs marionnettes devraient le remercier.
Des 200.000 documents, un petit millier seulement a été publié, avec censure pour éviter les "risques collatéraux", comme certains disent.
De nombreux internautes autrement plus radicaux naviguent sur le Réseau. Et ces hacktivistes auraient pu tout balancer, sans hésitation, sans contrôles, sans précautions.
Les diplomates peuvent lui dire merci. Car Internet n'est l'ami de personne, pas même des "pouvoirs" du temps.