Il semble que Moubarak ait profité de ses derniers jours au pouvoir pour transférer les milliards volés aux Egyptiens vers des cieux plus cléments aux gros parasites financiers.
Vu les sommes mises en jeu, on peut supposer des transferts inter-bancaires, et donc des traces dans les chambres de compensation. Et bien, contrôlons ces boites noires de tous les transferts financiers: ils ont tout dans leurs ordinateurs!