Ce matin, on cite le premier ministre. Quelque chose du genre: "Le retour aux 39h ? Pourquoi pas? Il n'y a pas de tabous."
Et si, il y a des tabous. Un, au hasard: Contrôler les flux monétaires internationaux par le prise de contrôle des chambres de compensation (cf Denis Robert vs. Clearstream). Très facile. "On" ne le fait pas.
Un autre tabou: Les banques. Aucun banquier en taule, après leurs escroqueries.
Le tabou de la finance, soutenu par le chantage (ne pas soutenir les banques ferait s'écrouler tout le système) et la corruption (Représentants de Goldman Sachs mis en poste de contrôle), etc.
Rien de tel qu'un tabou, assuré - on ne sait jamais - par la violence ordinaire.