Les dirigeants d'entreprises menacent les actionnaires de partir si leurs salaires ne sont pas réévalués, ou s'ils ne touchent pas de "golden primes" en fonction d'une "concurrence inverse" où l'on peut partir pour gagner PLUS ailleurs.
Côté salariés, c'est... l'inverse. Menacés de licenciement s'ils n'acceptent pas de gagner MOINS. Et là, la concurrence joue dans le "bon" sens...
Ha ha ha.