Depuis le début, les vendeurs d'OGM prétendent, en particulier auprès des politiques aux Etats-Unis, que leurs bricolages sont "équivalents en substance" aux plantes non modifiées.
On sait aussi depuis le début qu'il s'agit d'un argument totalement fumeux relevant surtout du marketing. A quel niveau établi-t-on l'équivalence ? Evidemment, à l'oeil, un pied de maïs ressemble à un autre. Mais sur le plan plus précis de la composition physico-chimique des plantes, ou encore des méthodes culturales à appliquer, il y a bien des différences.
Désormais, une étude montre qu'à l'analyse, on peut détecter des différences entre des plantes OGM et d'autres qui ne le sont pas.
Il fallait ajouter un clou sur le cercueil de cet argument foireux.