Il semble bien que pour (sur)vivre, tout être vivant doive s'adapter aux circonstances.
Mais ces circonstances ont été jusqu'ici pensées comme généralement extérieure à l'individu ou à son espèce.
Avec l'humanité, on modifie l'idée associée au mot "adaptation" en y ajoutant ceci que l'espèce doit aussi s'adapter à des circonstances dont elle est elle-même à l'origine... et que ces circonstances sont assez puissantes pour remettre en question cette même civilisation.
La planète, elle, s'en fout.