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Vite, oeuvrons pour atteindre le Paradis Libéral Capitaliste.
Parce qu'il est là, devant nous.
Mais il existe encore des retardataires ignares
qui ne voient toujours pas Sa Lumière.
Le Bonheur Ultime d'être In-dé-pen-dant éclaire l'Avenir Radieux du Paradis de la Compétition Libre et Non Faussée.
Corruption idéologique à tous les étages.
Lavage des cerveaux à haute intensité.
Le bonheur, on vous dit.
Elle a deux trous rouges au côté gauche...
(Les maîtresses de Dracula - Terence FISHER 1960)
Un excellent disque... Et aussi :
s'il fallait une preuve que le (petit) commerce n'a rien à foutre de la démocratie...
Vivement le paradis du Marché Global.
Coup de pot - si j'ose dire: ce serait un virus... et pas l'effet délétère d'un composé artificiel produit par la belle industrie chimique humaine. Ce n'est pourtant pas faute d'en balancer des tonnes.
A date toutefois, l'OMS n'a pas reconnu scientifiquement la responsabilité du dit virus (source: journal de France Culture de ce midi)
L'important, c'est qu'on ne peut pas trainer en justice un moustique. Ah la la: la nature, quand même. Vite, il faut s'en débarrasser.
axion esti ΑΞΙΟΝ ΕΣΤΙ 1964 Ολοκληρωμένο par xainis100
Toutes les "explications" du monde n'excuseront jamais rien.
C'est lui qui le dit.
Sur décision des institutions européennes... les producteurs de lait vendent leur production au cours mondial.
Sur injonction des institutions européennes... les Grecs ont vendu le port du Pirée. A une entreprise chinoise.
Où est l'Europe économique là-dedans ?
Et bien, à l'évidence et selon cette logique, cette Europe économique a pour fonction de... s'auto-détruire à terme après avoir emporté avec elle les Etats, pour nous mener vers le Paradis des Individus Libres dans un Divin Marché Libre Total, autre nom du chaos paradis.
Bien sûr, les Etats ne sont pas parfaits, loin s'en faut. Ils sont toutefois, encore un tout petit peu, la seule barrière limitant les appétits sans limites des méga-entreprises et de leurs actionnaires.
Bien sûr, on pourrait imaginer des institutions économiques européennes qui fassent une autre politique, mais apparemment, "il n'y a pas d'alternative".
Puisqu'il s'agit d'arriver au Paradis, alors...
