Un dessin de Lacombe, un autre d'Azo. Et sur le plan de l'humour littéraire, Pierre Conesa sur RFI pour son Guide du petit djihadiste...
En plus sérieux, Jean-Claude Guillebaud sur France Culture.
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Un dessin de Lacombe, un autre d'Azo. Et sur le plan de l'humour littéraire, Pierre Conesa sur RFI pour son Guide du petit djihadiste...
En plus sérieux, Jean-Claude Guillebaud sur France Culture.
Il y a quelques temps, presque des lustres, on parlait de la possibilité de Grexit, que la Grèce quitte l'Euro.
La "réalité" est toute autre: c'est à l'Europe entière que va être appliqué le "remède" qui tue la bête, à savoir l'austérité, les privatisations, les "efforts" effectués par les 99% pour que les 1% continuent à encaisser en dépit de la récession.
Plus il y a de récession, et plus les 99% devront se serrer la ceinture. C'est con, hein ?
Mais pardon, c'est vrai, il n'y a plus qu'un sujet important de nos jours : le terrorisme.
Autant pour moi.
Bienvenue dans la démocrature présidentielle française.
Je viens de réviser une note de 2012 sur "le déplacement des nutriments". C'est une Question Agricole.
C'était bien la peine de se séparer de La poste...
Les multiples tensions qui apparaissent en Europe, échos dans un large mesure des difficultés rencontrées sur le reste de la planète, montrent que l'idée d'une zone paradisiaque parce que gouvernée par la concurrence "libre et non faussée" est un peu courte.
L'économie est évidemment importante et le marché utile mais ce ne sont pas des nouveautés. Le commerce existe depuis des millénaires, or il n'a jamais (ou très rarement ?) empêché les guerres. Cela se saurait, depuis le temps.
En situation idéale, stable, le marché peut juste fonctionner plus facilement, mais dès que des questions sociales et politiques apparaissent, apparaît aussi la futilité de l'idée pacificatrice de l'économie.
Le supermarché n'a jamais empêché la pauvreté, l'injustice, la haine... et même parfois il y contribue lorsqu'il est géré à la manière ultralibérale, créant lui-même des problèmes qu'il ne peut résoudre "en interne" comme l'aggravation des inégalités, la compétition hystérique, etc.
Le marché montre aussi son action délétère au niveau des relations internationales: tel pays qui achète pour plusieurs milliards d'armement, ce qui conduit le vendeur à se retenir lorsque ce client veut jouer avec les droits de la personne, la liberté d'expression...
La Politique d'abord, l'économie ensuite.
Et la Politique, c'est la résolution des conflits, laquelle n'intéresse pas du tout l'économie...
A écouter sans modération, contre la bêtise cumulée des médias idiots (presse et réseaux "sociaux") et de nos 'dirigeants" (présents ou postulants), politicards court-termistes lamentables. C'est ici.
Allez, on démarre fort avec un peu d'économie de base, chez Paul Jorion.
Yeah man.
Cooperate and be cool ! ;)