Je croyais que la médecine moderne n'était pas une question de psychologie (de bistrot?) mais de stricte rationalité bio-chimique...
Et au moment où les cancers s'étendent, et où les grands génies de la bio-chimie sont dans l'impasse, plutôt que de reconnaître leurs limites (inhérentes à la science hyper-réductionniste et hyper-spécialisée), ils refilent la responsabilité de ces limites au malade lui-même, qui n'a soi-disant "pas assez combattu".
Ainsi, le génie de la science s'en sort toujours. Quand ça va, c'est grâce à lui, quand ça foire, c'est la faute des autres.
Ainsi font d'ailleurs les économistes, les politiciens, etc.
L'humain, si insupportable...
(De la technoscience...)