Le journalisme, qui découpe la Réalité en de multiple micro-histoires, contribue à ne pas avoir de réflexion GLOBALE sur les sujets systémiques comme la covid, ou le changement climatique, l'économie globale, etc.
Il faut AUSSI, en plus des petites histoires, envisager par exemple des coordinations internationales.
Non seulement les journalistes réduisent la complexité à des petites histoires, mais encore y ajoutent-ils des paramètres nationalistes qui aggravent la mal-compréhension, et donc induisent de mauvaises réponses politiques.
Ils ne font pas tout bien sûr, mais ils y contribuent.
On croit mieux comprendre, mais ce n'est qu'une apparence, qu'une réduction de la réalité.
Il faut (tenter de) tenir tous les bouts du système, de l'expérience individuelle aux mécanismes socio-économiques globaux, si on veut mieux le comprendre, pour mieux y répondre.