Le fric est comme une drogue, surtout lorsque tu en as TROP.
Qu'est-ce que c'est que ces clampins, ces salariés, ces chomeurs parasites, qui pleurent pour ne pas perdre de salaire, pour avoir la sécu, la retraire, les vacances ?
Ils ne se rendent pas compte que tout cet argent qu'ils gaspillent, c'est autant qui ne va pas dans la poche de ceux qui en ont déjà trop ?
Parce que, dans capitalisme, il y a CAPITAL.
Il n'y a pas travail, ou famille, ou patrie, santé, repos, joie de vivre.
Il y a CAPITAL.
Si on peut faire encore plus de CAPITAL en se débarrassant de tous ceux qui veulent nous le piquer, et bien on y arrivera. C'est l'objet de la guerre que mène la clique à Buffett.
Des services publics, c'est de l'argent pour des fonctionnaires. Pauvres. Alors qu'une fois privatisé, on se fait notre MARGE. Le chaos du privé (avez-vous essayé d'acheter un truc un peu cher sur le Net, par exemple une tronçonneuse. Si vous voulez rechercher le plus d'infos possible pour faire l'achat le plus avisé, et bien vous y passez des HEURES. Des HEURES pour CHOISIR un BIDULE. C'est ça, la LIBERTE DU MARCHE ?) n'est pas un problème pour nous.
Et puis, le travailler plus pour gagner plus, c'est bien pour les pauvres.
Ce qui rapporte aux vrais riches, c'est le travail des autres.
Jamais assez de fric. Il ne manquerait plus qu'il faille en donner un peu.