Lorsqu'un problème est mal posé, il est impossible à résoudre.
Pire encore, lorsqu'on s'acharne à apporter des "solutions" basées sur des principes inadéquats du fait de leur extrême partialité, il arrive ce qui doit arriver: la "solution" aggrave le dit problème.
C'est ce qui va arriver avec les derniers rejetons de la "technologie transgénique" qui prétendent remplacer les OGM.
Bien que dissimulés derrière un jargon scientiste échevelé, ils approchent encore et toujours la question agronomique depuis le plus petit bout de la lorgnette. Or la culture d'une plante n'est pas uniquement dans son génome. Elle est dans le système vivant dans lequel elle doit s'insérer au mieux. Voilà une chose qui dépasse les hyper-spécialistes du tripotage d'ADN... ou qu'ils ne veulent pas voir: Leurs fins de mois sont conditionnées par la vente de leurs tripatouillages.
Mais on ne vend pas un "système vivant," on le comprend, et sa maîtrise (toujours relative) dépend de l'intelligence d'une situation particulière, de plantes dans un milieu spécifique...
A écouter: Blues des experts : les OGM avec Christophe Noisette, rédac'chef de l'indispensable Inf'OGM