Première chose: Si ce n'est fait, asseyez-vous.
Maintenant, vous pouvez aller là.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Première chose: Si ce n'est fait, asseyez-vous.
Maintenant, vous pouvez aller là.
Joseph Stiglitz était l'invité de l'émission "On n'arrête pas l'éco" ce matin sur France Inter.
Et oui. C'est ça, ce super régime économique si bien vendu par tant d'économistes aux ordres. (pas tous, heureusement)
La guerre éternelle.
Au moins, "dans le temps", les guerres s'arrêtaient un jour. Même la guerre en Afghanistan cessera.
Mais la guerre économique, étant rarement qualifiée comme telle, a pour caractéristique intéressante de ne jamais cesser. La Croissance. La Compétition. De tou(te)s contre chacun(e). Si tu te couches pas, il y en a dehors qui sont prêts à prendre ta place.
La tactique du diviser pour régner est portée à son paroxisme.
Dans la guerre classique, on essaye de diviser chez l'ennemi. Avec le capitalisme hystérique que nous vivons, il s'agit de diviser parmi ses propres "troupes"... A moins... A moins que cette guerre ne soit menée contre "la masse"...
N'oublions jamais que la quasi totalité des entreprises fonctionnent comme des dictatures ploutocratiques (les actionnaires les plus riches ordonnent, et tout le monde obéit)...
Le capitalisme entend étendre la dictature de l'entreprise à la société toute entière.
C'est bien la guerre.
C'est bien entendu de France Soir dont je veux parler. Voyez un peu ça.
Les Allemands aussi goûtent aux joies de l'extraction dégueulasse des "gaz de schiste". Voir par ici.
L'économie est une question Politique.
Et pas l'inverse.
Prétendre cet inverse, c'est se placer dans la logique des boutiquiers, qui ne comprennent le monde qu'en termes de marge bénéficiaire et de court terme.