Lorsque vous êtes un spécialiste en neuro-quelquechose vous devenez instantanément une référence dans quasiment tous les domaines pour les journalistes en parrticulier, et le public en général.
L'aveuglement populaire face aux limites de la techno-science (et en particulier face à l'hyper-spécialisation et au réductionnisme de la méthode) est total.
La force d'un spécialiste, c'est qu'il connaît son domaine (du moins espérons-le).
La faiblesse d'un spécialiste, c'est qu'il ne connaît rien d'autre hors de son domaine (ou en tout cas pas plus que n'importe qui de non spécialiste)