Les joyeux retraités pour lesquels notre président d'origine hongroise lance ses piques anti-syndicales en espérant ainsi récolter leurs voies, ces sympatiques troisième-âgistes de droite, donc, oublient un peu que s'ils bénéficient d'une bonne santé pas chère, et s'ils ont pu prendre leur retraite à 60 berges, c'est grace à ces gauchisto-syndiqués et à leurs combats.