Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

capitalisme

  • Ce que 'réformes' veut dire pour Macron et les banksters

    Pin it!

    "Réformer", pour Macron et ses amis banksters et propriétaires,

    c'est détruire toute organisation collective sans but lucratif,

    afin de faire assurer les services par des gens qui entendent,

    grâce aux marges bénéficiaires qu'ils vont en retirer,

    devenir encore plus riches qu'ils ne le sont déjà.

  • L'obligation de rentabilité financière à court terme.

    Pin it!

    Toute intelligence en régime ultralibéral, c'est-à-dire dans une société contrôlée par l'esprit boutiquier telle que celle dans laquelle nous vivons, toute intelligence donc doit se voir contrôlée par ce principe aussi simple que catastrophique: toute nouvelle invention, tout nouveau produit doit rapporter de l'argent.

    C'est bien sûr une évidence.

    Conséquence évidente qui s'en suit: ce qui ne rapporte pas assez rapidement n'est pas considéré comme... valable.

    Concurrencer des producteurs d'un produit rentable par un autre plus simple et gratuit est une tare, que ces producteurs vont combattre par les lois, et tant pis si le nouveau produit ou la méthode est plus intelligent et plus durable, etc.

    La caricature de ce principe peut être trouvée par exemple dans la lutte de l'agrochimie transgénique (c'est la même chose contre l'agroécologie, mais je suis sûr qu'on peut trouver d'autres exemples comme par exemple tout ce qui a trait aux privatisations).

  • L'entreprise privée n'est pas une démocratie

    Pin it!

    et pire, l'organisation politique de la plupart des entreprises privées, hormis les coopératives, sont de pures et simples dictatures. Ceci n'est donc pas étonnant..

    Arbeit macht frei.

  • La "crise" est l'état naturel du capitalisme.

    Pin it!

    Allez, un super sujet.

    Le paradis capitaliste: chercher ses fournisseurs les moins chers (forcément: si c'est moins cher, c'est mieux).

    Fournisseurs en électricité, en transports, en communication téléphonique, en nourriture, en distraction. Dans le chaos général de la liberté du renard, des poules, des souris, des chouettes, des lapins, des loups, des hyènes dans le mégasupermarché.

    Il n'y a pas de crise. Il n'y a qu'un chaos global, constant et sans fin, et surtout inhérent à l'organisation économique elle-même. La liberté de choix ? Mais quel choix ?

    Et puis, pendant qu'on cherche le produit le moins cher, au moins on ne fait pas de Politique.

    Garder la tête dans la mangeoire pendant que "le maître" nous fait les poches.