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    "je respecte les commentateurs. Le commentaire est libre. Et c'est bien ainsi en démocratie."
                                                   (Nicolas Sarkozy, 16 novembre 2010)

     

  • Sommet de l'OTAN

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    Où l'Europe s'est à nouveau couchée devant les Etats-Unis, qui sont les seuls vrais décideurs.

    Où l'OTAN tente de se faire passer pour une organisation ONUsienne: soldats aux berrets bleus, panneaux en anglais et français (et pourquoi donc en français, hein? Pour se faire bien voir?... En plus ils sont faux-culs)...

    Où Sarko dit ne pas se faire dicter sa politique par AQMI... alors qu'il obéit aux USA pour cette connerie qu'est le bouclier anti-missiles. Aujourd'hui, les "terroristes" utilisent la poste et les avions de ligne...

    L'OTAN, c'est la Légion Romaine et rien d'autre... à part bien sûr que ce n'est pas Rome qui décide mais Washington.

     

  • Sarkozy au dessus. Et eux en dessous…

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    Capture-d’écran-2010-11-17-à-03.36.48.png

     

     Voir l'article de G. Birenbaum d'où provient cette capture.

     Voir également ce sondage, où vous pouvez voter!!!

    Résultat ce jour vers 13h :

    sondagens.jpg

     

     

  • Question au secrétaire général du FMI

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    (question envoyée à France Inter ce lundi, qui reçoit Strauss-Kahn)

    Mr Strauss-Kahn,

     

    Selon le "Journal Afrique" de France Ô hier soir, la Côte d'Ivoire est confrontée à des problèmes de prix de la nourriture, qui explose sans que le gouvernement puisse rien y faire.

    En effet, sa politique économique est contrôlée par le FMI qui INTERDIT L'INTERVENTIONNISME.

    La NOURRITURE, Mr le secrétaire du FMI.

    Votre organisation est responsable de ce genre de chaos.

    Ma question: Puisqu'is ne peuvent plus se payer de pain, peut-être devriez-vous leur envoyer des containers de brioche ?


    M.D.
     

    J'ai manqué un morceau de l'émission, et je suis revenu alors qu'il semblait que DSK "répondait" à ma question: En gros, le FMI n'impose pas vraiment. Il est même parfois capable de demander des mesures de soutien.

    En résumé: ce n'est jamais la faute de personne.

    Voilà qui ressemble furieusement au comportement de nos politiciens et technocrates avec l'Europe. C'est toujours la faute de l'autre. L'argument est utilisé dans tous les sens, que ce soit par les gouvernements ou la Commission.

    Voilà qui est bien pratique, et qui permet à nos huiles plus ou moins démocratiquement désignées d'être "responsables mais jamais coupables".

     

  • Numéro 0100000006

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  • Protectionnisme = populisme !

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    Entendu ça, lors d'une émission qui prétend avoir de l'esprit. Une identification protectionnisme / populisme. C'est beau, la propagande. C'est aussi tellement simple.

    Accoler deux termes dont vous comptez bien que l'un va "dénigrer" l'autre...

    L'hystérie mondialiste de nos "élites" n'a pas de bornes.

    Lien: La « menace protectionniste », ce concept vide de sens.

  • Délire de la junte birmane

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    Edito de la dernière lettre (oct.2010)  d'Info Birmanie :

    Sans crier gare, la junte birmane a imposé ce mois-ci au pays un nouveau drapeau, un nouveau nom et un nouvel hymne national. Les instructions de la junte étaient très précises : les anciens drapeaux devaient être descendus par des personnes nées un mardi et les nouveaux hissés par des personnes nées un mercredi. Dernier épisode en date d’une longue série de décisions incongrues, cette nouvelle pourrait paraître anecdotique et prêter à sourire, si elle n’émanait pas d’un des régimes les plus opaques et répressifs au monde.

    Un rendez-vous de première importance pour les généraux se profile : les élections législatives, organisées dimanche prochain, le 7 novembre. Ces élections, les premières depuis 20 ans, auraient dû, ou pu, être l’opportunité d’une évolution vers un système gouvernemental plus ouvert et plus démocratique. C’est en fait exactement l’inverse qui va se produire : le profil des candidats ‘autorisés’ à concourir, le maintien en détention de la plupart des opposants, et la constitution qui entrera en vigueur attestent d’un futur renforcement du pouvoir militaire au sommet de l’Etat birman.

    En quittant leurs uniformes militaires pour revêtir l’habit civil, le seul changement que les généraux nous proposent est d’ordre vestimentaire. Malgré ce subterfuge grossier,  il est probable que des appels à lever les sanctions (économiques et politiques) soient lancés et que le “nouveau” gouvernement soit poliment accueilli au sein de la communauté internationale. Ces appels émaneront de multinationales désireuses d’investir en Birmanie et de gouvernement souhaitant accroître leur influence sur le pays, et seront d’autant plus séduisants si la junte libère Aung San Suu Kyi le 13 novembre.  Il est du devoir du gouvernement français de ne pas céder au leurre du ‘changement’ et de maintenir une politique claire à l’égard du régime birman : c’est à ce dernier de démontrer sa volonté de réforme et de changement, et non à l’Europe, qui a déjà fait preuve de beaucoup de patience et de conciliation. La mascarade d’élections que les généraux se préparent à proposer au peuple birman ne répond malheureusement à cette exigence.