Ceci a fait l'objet d'une petite note d'hier.
Le parlement a rejeté la proposition de loi :
Nombre de votants 327
Nombre de suffrages exprimés 324
Majorité absolue 163
Pour l’adoption 127
Contre 197
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Destruction de la Grèce en bande organisée
Témoignage Dimitri Assemblée Citoyenne Grabels door papounet34Vidéo trouvée ici...
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Interdiction de la prostitution
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Prends-en cinq.
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Proposition de loi relatives à la transparence de la vie publique et à la prévention des conflits d’intérêts.
Une campagne d'Avaaz veut soutenir une proposition de loi française sur les conflits d'intérêts.
La proposition de loi est là.
Les discussions de la commission des lois sont là (ça commence au tiers de la page).
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La dette pour contrôler les peuples et les Etats.
Enfonçons avec entrain des portes ouvertes, parfois juste dissimulées par le torrent médiatique.
Quand vous êtes endettés, vous dépendez de qui vous a prêté.
Que vous soyez individu ou organisation.
Tous comme les labos pharmaceutiques sont en bonne santé grace à votre maladie et la police utile grace à la délinquence, la banque profite de vos difficultés... (jusqu'à un certain point toutefois. Au-delà, on a un "crise".)
L'endetté est une clientèle captive.
Aujourd'hui, les banques privées, grace à l'idéologie ultralibérale et à la corruption systémique qu'elle induit, ont pris le contrôle des Etats. Irlande, Grèce... Coups d'Etats financiers en série, avec d'autres en perspectives...
- Un article (en anglais) de Michael Hudson: Europe’s Transition From Social Democracy to Oligarchy.
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Urtikan 28
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Messieurs Bernard Bertrand et Denis Robert
Deux émissions intéressantes ce matin à la radio, avec des prénoms qui se sont fait un nom...
- Un portrait de Mr. Bernard Bertrand, écrivain-paysan-etc., fondateur des éditions de Terran.
- Mr. Denis Robert dans l'émission Le secret des sources. -
Le capitalisme n'a rien à foutre de la démocratie.
Il faut quand même le répéter. Le capitalisme n'a rien à foutre de la démocratie.
On veut nous faire croire à chaque bulletin d'info et dans tous les articles de la presse de révérence que les gouvernements doivent "rassurer les marchés". A la première occasion et si ça peut lui rapporter, le marché viendra niquer la démocratie.
Ainsi, diverses entreprises vendent des systèmes d'espionnage à qui peut les payer, ex-dictateurs et dictateurs encore en exercice inclus.
Sans parler bien entendu de l'espionnage "ordinaire"...
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Rions un peu avec le nucléaire français...
... mais pas longtemps. « La sécurité nucléaire c'est burlesque »