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  • Manifestation contre l'austérité

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    Ce dimanche, Place de la nation, à Paris, 13h30: Non à l’austérité permanente ! Refusons le Pacte budgétaire et ouvrons le débat en Europe !

    Cette austérité résulte de choix politiques, eux-même conséquences de la gigantesque escroquerie financière que les mal informés appellent "la crise".

  • Projets inutiles et escroquerie financière

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    Deux sujets pour ce billet.

    D'abord, l'émission de ce matin de Terre à terre, consacrée au Forum sur les Grands projets inutiles à Notre-Dame-des-Landes. Est évoqué, entre autre, ce superbe aéroport québécois pour lequel des dizaines de milliers d'habitants ont été expropriés après vingt ans de luttes, et qui a été fermé au trafic passager dix ans après son ouverture... 

    9782738126276.jpgEnsuite, cet article. à propos du bouquin La grande fraude de Jean-François Gayraud. Je vous laisse le lire, et visionner la vidéo. En résumé: ces crises économiques qu'on nous dit "naturelles" relèvent à chaque fois de comportements criminels de grande ampleur. Ce ne sont pas des crises mais des hold-up à très grande échelle.

  • Nouveau Lordon

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    Deux extraits : 

    On rappellera tout de même que la dette publique espagnole passe de 36,1 points de PIB en 2007… à 68,5 en 2011 – multipliée par deux. Celle de l’Irlande, de 25 à 108 % sur la même période – multipliée par quatre, qui dit mieux ! On défendra difficilement la thèse qu’Espagnols, ou Irlandais se sont jetés frénétiquement sur les médicaments ou bien ont décidé de partir en retraite à 40 ans (comme les traders, au passage) : c’est le désastre de systèmes bancaires irresponsables qu’ils ont sur les bras. La France, dont la dette passe de 63,8 % de PIB à 85,8 %, le Portugal de 62,7 % à 107,8 % [10], payent eux aussi les dégâts de la finance, mais indirectement et par récession de credit crunch interposée – faut-il redire que tout ceci a commencé avec la crise des subprime en 2007-2008 et que, médiatement ou immédiatement, les populations européennes éclusent les petits désastres de la finance privée (que l’Union a si gentiment déréglementée pour elles) ? De tout ce surplus de dette, indiscutablement né de la crise financière, il faut dire que nous ne sommes pas comptables. Et par conséquent que nous ne le payerons pas.

      [...]

    Car à la fin, il faut avoir un peu de suite dans les idées et, si ça n’est pas trop demander, procéder logiquement. En l’occurrence, la prémisse réside dans le constat que nous vivons une de ces époques historiques de surendettement généralisé – et passons sur le fait que ce surendettement de tous les agents (ménages, institutions financières, Etats) est le produit même du néolibéralisme… – : les ménages se surendettent sous l’effet de la compression salariale ; les banques se surendettent pour tirer, par « effet de levier », le meilleur parti des opportunités de profit de la déréglementation financière ; les Etats se surendettent par abandon de recettes fiscales sous le dogme de la réduction des impôts (pour les plus riches). De cet énorme stock de dette, il va bien falloir se débarrasser. Or la chose ne peut se faire que selon deux options : soit en préservant les droits des créanciers – l’austérité jusqu’à l’acquittement du dernier sou –, soit en allégeant le fardeau des débiteurs – par l’inflation ou le défaut. Nous vivons à l’évidence en une époque qui a choisi de tout accorder aux créanciers. Que pour leur donner satisfaction il faille mettre des populations entières à genoux, la chose leur est indifférente. C’est à cette époque qu’il faut mettre un terme. 

    >> En sortir (texte complet)...

    Tant que les représentants de ces débiteurs - en particulier ceux de Goldman Sachs, vont diriger la BCE, l'Italie, la Grèce..., on va avoir du mal à mettre en place ce défaut qu'étudie M'sieur Lordon. 

    Commençons par extirper cette pieuvre malsaine.

    Je viens de voir le doc d'Arte. On peut remarquer que les magouilles de cette banque, dirigée par un certain Lloyd Blankfein, conduisent au surgissement des néo-nazis  en Grèce et à d'autres mouvements du même genre ailleurs en Europe.

    Une belle réussite.

     

  • Suppression des chauffages électriques d'ici 2025...

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    ... en Suisse !

    CH/Le National veut supprimer les chauffages électriques d'ici 2025 

    Berne (awp/ats) - Les chauffages électriques doivent être remplacés d'ici 2025. Le National a adopté tacitement lundi une motion de sa commission de l'environnement. Le texte, qui doit encore recevoir l'aval du Conseil des Etats, demande de substituer à ces systèmes énergivores des installations plus efficaces.

    Le Conseil fédéral est chargé de présenter au Parlement, en collaboration avec les cantons, un projet de cadre légal qui permette de remplacer la plupart des chauffages électriques encore existants.

    Le gouvernement a apporté son soutien au texte, s'étant déjà engagé dans cette voie. L'Office fédéral de l'énergie examine, dans la cadre de la stratégie énergétique 2050, les dispositions légales nécessaires pour remplacer les chauffages et les chauffe-eau électriques.

    250'000 CHAUFFAGES ÉLECTRIQUES

    Aujourd'hui, la Suisse compte plus de 250'000 chauffages électriques, qui consomment l'équivalent de la production de la centrale nucléaire de Mühleberg. L'installation de systèmes plus efficaces, tels des pompes à chaleur, devrait permettre de réaliser des économies d'énergie substantielles.

    ats/tt

    (AWP / 24.09.2012 17h45)

  • Le "flop" des biocarburants

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    Le "flop" des biocarburants

    Berne (Sipa) Très peu des biocarburants sont plus écologiques que l'essence. C'est ce qui ressort d'un bilan actualisé par le Laboratoire fédéral (Suisse) d'essai des matériaux et de recherche (Empa). Si ces carburants produisent moins de gaz à effet de serre, ils ont souvent d'autres conséquences néfastes pour l'environnement. 

    Tout d'abord "top", puis "flop". C'est ainsi que l'on pourrait résumer l'histoire des biocarburants jusqu'à aujourd'hui, ont souligné lundi l'Empa et l'Office fédéral de l'environnement. En faisant leur bilan écologique global, il apparaît que seuls "très peu" d'entre eux sont plus "verts" que l'essence.

    Au cours des dernières années, la demande en biocarburants présumés écologiques a nettement augmenté dans le monde entier. D'une part, cela a entraîné une augmentation de la culture de plantes dénommées énergétiques et d'autre part, des méthodes de production innovantes ont été développées pour la seconde génération de biocarburants.

    Malgré une base de données plus importante et l'emploi d'une méthodologie actualisée, l'Empa parvient à la même conclusion qu'en 2007: de nombreux biocarburants issus de la production agricole contribuent certes à diminuer la production de gaz à effet de serre, mais entraînent d'autres dommages environnementaux, comme par exemple une hyperacidité des sols et des eaux polluées par l'abus d'engrais. La plupart des biocarburants ne font ainsi que déplacer les pollutions engendrées, selon Rainer Zah, chercheur au sein de l'Empa.

    Seuls quelques biocarburants présentent un bilan écologique globalement meilleur que l'essence. Il s'agit en premier lieu du biogaz, obtenu à partir de matières résiduelles ou de déchets qui, selon la matière initiale employée, a un impact environnemental jusqu'à moitié moindre que l'essence. Par ailleurs, les biocarburants à base d'éthanol présentent de manière générale un meilleur bilan écologique que ceux produits à base d'huiles. Cependant, les résultats dépendent considérablement des procédures et des technologies individuelles de production.

    (Sipa / 24.09.2012 12h23)

     

  • Eau chaude

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    Chauffe-eau thermodynamique...

    Pour remplacer son vieux chauffe-eau électrique ou gaz, on connaissait les chauffe-eau solaires (CESI) mais saviez-vous que la production de votre eau chaude sanitaire pouvait se faire aussi à l’aide d’une autre source d’énergie renouvelable que le soleil ? Laquelle ? L’air, tout simplement… grâce à un chauffe-eau dit « thermodynamique ».