Détails ici. C'est un peu complexe au premier abord, mais cela vaut vraiment le détour.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Détails ici. C'est un peu complexe au premier abord, mais cela vaut vraiment le détour.
Lee Joon-seok, capitaine du ferry Sewol, accusé d'être responsable de son naufrage.
Thomas Harding, chef du train qui a déraillé à Lac-Mégantic
Tous deux traités comme coupables principaux.
Tous deux en bout de chaine d'un système qui, pour raison d'économies, ne cesse de rogner sur les "frais" de fonctionnement...
Mais pourquoi se priver, puisque les responsables qui mettent en oeuvre ce système économique (il paraît que "moins cher, c'est mieux") ne seront jamais coupables de rien.
Mieux encore: ils seront augmentés lors de la vente de leur compagnie, ou, pour les politiciens ou fonctionnaires, embauchés dans une société privée après leur mandat public pendant lequel ils auront saboté le Service Public.
Le micro-crédit, système de prêts de petites sommes d'argent via l'organisation classique de l'endettement auprès d'organismes privés externes bancaires.
La tontine, système de prêts de petites sommes d'argent via un système ultra-local et inter-individuel solidaire.
Reste plus qu'à choisir.
D'abord, les paradis fiscaux : moins compliqués et plus dévastateurs qu’on le pense avec l'excellent Alain Deneault.
Ensuite, en Europe, le ver est dans le fruit depuis le tout début, avec l'excellent Geoffrey Geuens.
...deux émissions intéressantes, où les détails montrent la réalité, derrière les beaux discours.
D'abord, cet entretien avec Roger NKODO DANG à propos du sommet UE-Afrique, déjà oublié par la presse, et donc la population... qui n'en a en fait même pas entendu parler. Tout ce qu'elle entend de l'Afrique, notre population, tient en quelques images d'immigrés systématiquement qualiifés de clandestins, entassés dans des barcasses approximatives au large de l'Italie.
Ensuite, cette excellente émission de Pascale Pascariello sur les PPP, où les grands principes se heurtent à la réalité des petits arrangements sur le dos de la collectivité. On allonge les factures et on raccourcit les lampadaires.
Principes de base pour une Agriculture Intelligente
(l'acronyme LPP utilisé dans le texte signifie "le plus possible")
Recentrée
L'agriculture, vu les limites en terres utilisables, doit être exclusivement concentrée sur la production de nourriture. Plus d'agrocarburants, et autres enfantillages de ce genre.
Localisée
La production doit être d'abord destinée à la consommation humaine la plus locale possible. Les surproductions doivent d'abord alimenter des stocks puis, s'il en reste, exportées.
Autonomisée
- Utilisation de techniques agronomiques LPP autonomes (Agroforesterie, Permaculture, BRF...) qui permettent l'aggradation des sols , et donc l'extension des terres arables disponibles, ce que sait faire l'Agriculture Intelligente, mais que ne peut absolument pas faire l'agroindustrie actuelle qui ne sait que dégrader.
- Limiter LPP la nécessité des intrants venus d'en dehors des fermes elles-mêmes, ce qui signifie le recyclage maximum de tout ce qui n'est pas la production elle-même. Il n'y a pas de déchets dans une ferme. Tout ce qui n'est pas consommé doit retourner au sol. Les intrants externes ne doivent être utilisés qu'en dernier ressort.
- Réorientation LPP vers la polyculture-élevage, permettant des productions variées, et du recyclage plus intéressant (parce-que plus varié).
L'Agriculture Intelligente est la seule réellement durable.
Elle limite par conception la dépendance au pétrole et aux intrants hors-agriculture.
Elle n'exclut évidemment pas la science, mais dans une approche plus systémique et écologique (la science) que la technoscience réductionniste d'aujourd'hui.
Elle n'exclut pas le machinisme.
Elle peut être une source d'emplois.
L'Agriculture Intelligente a déjà des ennemis. Ils sont faciles à deviner.
Céline Lafontaine, invitée ce matin à la radio, à propos de son bouquin Le Corps-marché - La marchandisation de la vie humaine à l'ère de la bioéconomie
Le cancer néolibéral étend ses manifestations promotionnelles. Ainsi se déroule un "Forum économique Mondial" en Afrique, en l'occurence au Nigéria...
On peut remarquer dans les articles sur le sujet comme celui-ci ou celui-là combien on cache les entreprises, sous l'éternel langage des bons sentiments et du progrès. On croirait juste un festival de chefs d'Etats.
Or ces machins montrent dans les faits la collusion totale entre les entreprises les plus puissantes et les représentants des peuples.
Une structure idéale de méta-corruption, plus visible toutefois que les sommets genre Bilderberg.
Combien haïssez-vous le président Hollande:
- Beaucoup
- Moyennement
- Un peu
- Trop.
La déprogrammation, c'est retirer du cerveau des victimes de sectes les aberrations qu'un gourou malveillant - ou tout simplement stupide - y a mis.
Voyons un peu ce qu'il en est de la programmation que notre société a implanté en nous.
Soyons modestes. Il faut y aller petit à petit.
Un truc entendu souvent, en particulier en ce printemps où pousse l'herbe avec pas mal de vigueur, c'est que "ça fait sale" d'avoir de l'herbe sur les bordures, dans les coins... ou sur la pelouse, si elle a une hauteur supérieure à... allez, 10 mm maximum. Ou s'il y a une herbe différente des autres. Quel scandale.
Non. Déprogrammons.
Et s'il faut utiliser ce terme de "sale" alors disons que ce qui est VRAIMENT sale, ce sont les poisons utilisés pour détruire cette herbe.
Ce modeste brin d'herbe est capable de réaliser la conversion à coût quasi nul de l'énergie solaire en nourriture. L'humain, d'en haut, là, avec son pulvérisateur, n'est même pas foutu d'y arriver alors hein, au moins sur ce plan, le brin d'herbe est supérieur à l'humain.