Si vous attendez d'être à 100% d'accord avec quelqu'un pour en faire un.e ami.e, vous finirez 100% solitaire.
Comme moi !
;-))))
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Si vous attendez d'être à 100% d'accord avec quelqu'un pour en faire un.e ami.e, vous finirez 100% solitaire.
Comme moi !
;-))))
Slogan vu ici !
Nous avons une certaine tendance à penser qu'il suffit de mieux comprendre pour mieux agir.
Il suffirait d'un peu plus de science pour régler les problèmes.
Les choses ne sont pas aussi simples.
Par exemple, on peut comprendre un système, mais ne rien pouvoir y faire, non pas par une "incompétence" mais par le fait que l'on n'est pas sur le même plan.
Comprendre (''hypothéser'') la création des galaxies n'a évidemment aucun effet sur nos capacités à intervenir sur celles-ci.
Le savoir est une chose, la capacité d'utiliser ce savoir une autre.
C'est évident bien sûr...
Voir plus, ici...
"Réformer", pour Macron et ses amis banksters et propriétaires,
c'est détruire toute organisation collective sans but lucratif,
afin de faire assurer les services par des gens qui entendent,
grâce aux marges bénéficiaires qu'ils vont en retirer,
devenir encore plus riches qu'ils ne le sont déjà.
La logique est partout, même là où on pense qu’elle n’est pas.
La logique, c’est autre chose que le rationnel ou la raison.
‘’La logique’’ consiste ici en un ensemble de principes (plus ou moins simples) qui représentent des relations entre des objets, des faits, des idées, des événements, voire même d’autres principes logiques (notion de « récursivité »). La plupart de ces principes de base sont de type binaire. Telle chose existe/n’existe pas. Telle affirmation est vraie/n’est pas vraie. Tel jugement est juste/injuste.
Si par exemple vous considérez qu’il existe des ‘’puissances’’ invisibles qui dirigent le monde, vous allez avoir un ensemble de principes qui vont justifier ce pré-supposé de base (un autre principe).
Ainsi, toute personne qui défend la même idée que vous a (forcément) raison, et les autres (automatiquement) tort. Toute idée qui prend en compte vos principes est (forcément) bonne, mais tout individu qui ne pense pas comme vous ne mérite pas de vivre… etc. La structure logique est extrêmement puissante parce qu’elle induit des comportements, des réactions face à la réalité. Ce n’est pas juste des trucs d’intello, même si tout cela se passe dans la pensée, la réflexion (plus ou moins développée).
Cette ‘’structure logique’’ est une construction mentale qui forme un tout relativement cohérent parce que chaque élément justifie les autres, le tout, et réciproquement.
On peut déceler ’’l’intelligence’’ (ou ses limitation) dans la manière dont est traité un élément de la réalité (ou de la logique) qui semble remettre en question les principes de la structure globale.
Diverses questions peuvent se poser, dont l’accumulation et la manière d’y répondre sont proportionnelles à ‘’l’intelligence’’ :
- Quel degré de validité donne-je à ma ‘’structure logique’’ (Ai-je la Foi absolue, ou suis-je capable de revoir mes principes)
- Puis-je évaluer la validité d’un élément perturbateur de ma structure (aussi objectivement que possible) ?
Il est probable que nous ne puissions pas vivre sans un minimum de structure logique, laquelle est créée à partir de nos expériences (y compris non verbales comme les émotions), nos connaissances, notre imaginaire. Elle est une construction abstraite émergeant naturellement du fonctionnement même de notre système nerveux qui lui-même ne cesse de mettre en relations ce que nous vivons, imaginons, rêvons, etc.
Il me semble que parmi les sources de ‘’pulsions’’ des êtres humains, ces structures logiques sont autrement plus puissantes que les affects, très à la mode de nos jours. Les affects existent bien, mais ils ne sont qu’une partie du problème. La structure de la pensée et sa cohérence logique sont un élément fondamental qui a tendance, si on ne les considère pas sérieusement, à mettre en danger notre intelligence, laquelle consiste à
- mieux comprendre une situation (c’est-à-dire les relations entre les objets spécifiques)
- en conséquence, être capable de ‘mieux’ réagir à cette situation.
Pour cela, il faut accepter que ce que l’on sait (ou pense savoir) n’est pas une Vérité Absolue, que notre structure logique personnelle puisse avoir des ‘’trous’’.
Dans l’intérêt de l’#IntelligenceHumaine, Il faut accepter que les idées que l’on se fait de la réalité ne sont pas cette réalité, mais juste des simplifications plus ou moins représentatives de processus souvent beaucoup plus complexes.
Un article de 2016, mais une info qui n'a pas d'age : Et si l'arme fatale pour venir à bout du frelon asiatique était la poule noire de Janzé ? La découverte d'un agriculteur breton vient de lui valoir un prix: L'article du Parisien !
Les langages sont des éléments fondamentaux de l'intelligence.
Ils sont des systèmes de représentation (et de simplification) permettant de "manipuler" au niveau de la pensée des états/objets/événements sans avoir besoin de les reproduire.
Le terme "big bang" par exemple : en deux mots, vous résumez une hypothèse représentant un ensemble possible d'événements d'une complexité inouïe, à des échelles impossible à percevoir pour un.e humain.e ordinaire.
Ces mots/symboles sont généralement associés à d'autres mots/symboles, accroissant encore la complexité potentielle, souvent en ajoutant des points de vue individuels qui font intervenir d'autres hypothèses. On peut associer au "big bang" le mot/symbole "dieu" par exemple. Cela accroit la complexité des idées en jeu dans l'équation à un niveau absurde.
Prenons le mot/symbole "liberté". Lorsque vous vous promenez dans la rue, vous ne pensez pas forcément que vous exercez une liberté que ne connaît pas le prisonnier. Il est naturel pour vous de vous balader, alors que cela représente une grande liberté pour une autre personne...
Dans l'intérêt de l'#IntelligenceHumaine, il faut se rappeler que les mots sont des valises, des valises pleines de mots pour les définir, et que tout le monde ne "remplit" pas exactement de la même manière. la définition d'un mot est un ensemble qui comporte une partie commune (celle que l'on trouve dans le dictionnaire) et des parties "floues" que l'on ne peut préciser qu'en s'intéressant au contexte d'utilisation.