Grèce, Europe, 2014. Texte de Panagiotis Grigoriou:
"Ces derniers jours et d’après l’hebdomadaire satirique et politique “To Pontiki” (entre autres), la police convoque aux commissariats des lycéens qui avaient participé aux mouvements et aux occupations de certains écoles en octobre 2013, pour leur signifier qu’une procédure est initiée à leur encontre. De ce fait, ils ne pourront probablement pas s’inscrire au concours d’entrée aux universités, (concours national organisé à la manière de celui du Baccalauréat en France). Inutile de dire que les commissariats exigent des enseignants, qu’ils leur fournissent ces fameuses listes... contenant les noms des élèves tant “agités”. C’est tout de même une première depuis la fin de la dictature (précédente)."
On y lit aussi ceci:
Questions d’actualité, notre presse cette semaine (“Epikaira” ou “Eleftherotypia” par exemple) s’alarme des projets secrets de la Commission européenne, cette dernière “souhaite tailler sur les avoirs des Caisses et Organismes de Sécurité Sociale ainsi que sur les dépôts des particuliers et des entreprises afin de renflouer les États et les banques potentiellement défaillantes, à l’image de ce qui s’est déjà produit en Grèce et à Chypre”.
Si cette info se confirme, soyons joyeux: l'état de la Grèce va devenir celui de la plupart des pays européens. Car il faut sauver la structure financiaro-politique avant "le reste."