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Mots variés sur choses diverses - Page 7

  • Le nationalisme, ce crétinisme...

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    Face à la COVID, mais aussi aux questions de pollution ou de climat, voire à un système économique qui détruit volontairement et systématiquement les frontières, en rester à des approches nationalistes est une connerie de grande magnitude.

    A qui profite cette stupidité ?

    Tous les niveaux d'organisation sont importants, et le niveau transnational est un des plus sensibles, puisqu'il pourrait permettre de créer une force réellement dangereuse pour des organisations déjà internationales comme, au hasard, les mafias...

  • Journalisme et mal-compréhension du monde

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    Le journalisme, qui découpe la Réalité en de multiple micro-histoires, contribue à ne pas avoir de réflexion GLOBALE sur les sujets systémiques comme la covid, ou le changement climatique, l'économie globale, etc.

    Il faut AUSSI, en plus des petites histoires, envisager par exemple des coordinations internationales.

    Non seulement les journalistes réduisent la complexité à des petites histoires, mais encore y ajoutent-ils des paramètres nationalistes qui aggravent la mal-compréhension, et donc induisent de mauvaises réponses politiques.

    Ils ne font pas tout bien sûr, mais ils y contribuent.

    On croit mieux comprendre, mais ce n'est qu'une apparence, qu'une réduction de la réalité.
    Il faut (tenter de) tenir tous les bouts du système, de l'expérience individuelle aux mécanismes socio-économiques globaux, si on veut mieux le comprendre, pour mieux y répondre.

  • L'économie est un OUTIL

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    C'est un outil qui permet d'optimiser la répartition des biens et services.

    On ne peut pas arrêter l'activité et laisser tourner les processus automatiques de l'économie sans se créer AUTOMATIQUEMENT un chaos garanti.

    La seule chose à faire est de mettre VRAIMENT en pause l'économie, ou du moins les éléments les moins importants.

    Cela n'a pas été fait parce que les "économistes" sont incompétents (ils croient que l'économie est un système naturel, les cons) et les politiciens ne sont pas plus intelligents.
    Quand aux médias... ils ne comprennent rien non plus.

    L'économie est un OUTIL.
    Lorsque l'OUTIL devient dangereux pour ses utilisateurs, il faut le réviser, l'améliorer pour le rendre moins dangereux.

  • "La nature", ça existe.

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    Certains intellos, ici ou là, on l'air de dire que tout ça n'est que lubie humaine.

    Là, "la nature" en action :

     

    Le haricot "pousse" TOUT SEUL.

     

  • Réseau ferré: avant-goût du chaos qui vient ?

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    Expérience vécue, le 22 juin 2020.

    Recherche d'horaires entre Paris et Aurillac pour le 23 juin.

    Sur le site de la SNCF "nationale", il n'y a pas de train.

    sncf_Paris-Aurillac.gif

    Mais si vous faites la recherche Paris - Brive seulement, il y a bien des trains.

    sncf_Paris-Brive.gif

     

    Sur le site TER régional maintenant, il y a bien une liaison entre Brive et Aurillac, et il y a la correspondance (13h51 à 14h02)

    sncf_Brive-Aurillac.gif

    Ce trajet a été suivi, et tout s'est bien passé malgré son "inexistence" sur le site national.

    La raison à priori est la non-connexion entre les bases de données SNCF et TER... alors qu'il s'agit de la même société !

    Et ce n'est pas dû à la covid. Les problèmes existent depuis... longtemps avant.

    Et cela ne va pas s'arranger avec des sociétés privées.

    Nous assistons au sabotage, qu'on peut parfois estimer volontaire tant les problèmes sont parfois aberrants, de la SNCF.

    L'important est que le troupeau soit heu-reux de la privatisation, qui "réglera" des problèmes... créés de toutes pièces.

    Tout ça pour re-nationaliser après : un réseau ferré efficace ne peut tolérer les lubies d'actionnaires privés qui n'ont que leur intérêt de court terme comme objectif. Il y va de l'organisation et de la sécurité.

  • Comment ne PAS utiliser l'ONU pour ce qu'il est censé faire

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    L'ONU devrait être l'endroit où tous les pays de la planète s'entendent pour s'organiser, ensemble, contre le virus.

    TOUS les pays sont concernés par la pandémie. Tous les humains sont malades (à peu près) pareil. Toutes les économies sont touchées. Tous les Politiques doivent prendre des décisions dans les mêmes domaines.

    A qui profite la division des pays ?... Et bien au système financier, qui va faire cracher les populations pour rembourser des emprunts, alors qu'elles ont été malades, confinées, et dans la panade économique.

    ET EN PLUS IL FAUDRA REMBOURSER !!! Quelle honte.

  • Covid-19 et économie : Quelques idées perso (qui valent ce qu'elles valent...)

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    - Durant cette pandémie, les humains ont été confinés, mais pas les processus économiques, juridiques, réglementaires et conventionnels. Tout a continué à rouler.
    J'ai cette image: le chauffeur routier a été contraint à rejoindre sa couchette mais le camion a continué de rouler.

    La "crise" économique qui s'en suit n'est donc pas une crise, mais une conséquence de la non-mise en pause de l'économie, etc. (sauf domaines indispensables: nourriture, santé, énergie, poubelles...)

    Nous devrions avoir une réunion de l'AG de l'ONU 24h/24 pour mettre en oeuvre un plan global de sortie de confinement. Tous les pays ont les mêmes problèmes. Divisés, ils font le jeu des banksters.

    Il est temps (!?) de rappeler que l'économie est un outil permettant la répartition optimale des biens et services au service de l'Humanité.
    Lorsque l'outil prend le contrôle de celui qui s'en sert, ce n'est plus un outil.
    Si au lieu de servir à cette répartition il est utilisé pour accumuler toujours plus d'argent (qui doit être le fluidifiant du système, et pas le bloquer avec des poches d'accumulation déraisonnables) alors le système tourne mal.

    Une idée est de mettre une Date Limite d'Utilisation à l'argent.
    Chaque somme qui circule est affectée d'une date limite lorsqu'elle arrive sur un compte. C'est très simple avec les ordinateurs, nul besoin d'IA.
    Tous les ans, hop, la somme prend -10% (par exemple).

    Je dis tout ça... ;)

     

    (Ce texte est un commentaire publié à la suite de cet article)

  • Principes à incorporer dans le vaccin verbal contre le racisme:

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    - Un être humain ne se réduit pas à sa couleur de peau, sa religion, ses idées ou quoi que ce soit.

    - Il y a des groupes humains, c'est-à-dire des individus qui partagent +/- certaines caractéristiques physiques, psychologiques et/ou sociales, mais cela ne dit rien de la valeur de ces humains. L'individu n'est pas le groupe dans lequel il se trouve.

    - Le monde est compliqué, mais ce n'est pas grave.

    - Nous ne sommes pas nos idées. Les idées qu'on se fait du monde sont des simplifications. Changer d'idées n'est pas une tare.

    - La réalité est rarement binaire, malgré ce que racontent les manipulateurs politicards, les mauvais philosophes et autres éditorialistes médiatiques.

  • Le problème de "race"

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    (Merci d'aller au bout de ce texte avant de juger)

    Les biologistes disent qu'il n'y a pas de "races" dans l'humanité. Voici ce qu'en dit Wikipedia, et qui me semble juste: "Le consensus scientifique actuel rejette en tout état de cause l’existence d'arguments biologiques qui pourraient légitimer la notion de race, reléguée à une représentation arbitraire selon des critères morphologiques, ethnico-sociaux, culturels ou politiques, comme les identités."

    Admettons qu'ils n'y a pas de "races" selon cette définition scientifique.

    Il n'en existe pas moins des différences visibles évaluables statistiquement, et cela suffit, pour des non-scientifiques (et aussi parfois pour certains scientifiques).

    Il y a des groupes humains statistiquement observables de, disons, complexion "blanche" ou "noire" ou "asiatique" (même si le mot n'est pas la chose, et la réalité pleine de variantes).

    Si l'on supprimait l'usage du mot "race" - et donc de sa déclinaison "racisme", les différences visibles n'en existeraient pas moins, et un autre mot émergerait. Ce pourrait être les "types" humains ou les "groupes"... et immédiatement les mêmes déclinaisons verraient le jour: il y aurait du typisme ou du groupisme.

    Le problème n'est pas dans les différences mais dans les JUGEMENTS DE VALEUR que l'on associe à ces différences.

    On peut reconnaître appartenir à un groupe (statistique) et ne pas pour autant se considérer de façon ultra-négative ou ultra-positive.

    Un être humain ne peut se réduire exclusivement ni à sa biologie, ni à ses idées politiques, ni a ses choix de vie, ni à la couleur de ses chaussures.

    Chacun de ces éléments constituent son "individualité" a un moment précis. L'être humain est un système vivant qui est influencé et influence la réalité qui l'entoure. Il peut changer d'avis et de chaussures, parfois même en bien.

  • Racisme: La pente fatale (Mépris > haine > Violence)

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    Mépriser l'étranger... parce qu'étranger.
    Mépriser l'autre sexe parce que de l'autre sexe.
    Mépriser les pauvres parce que pauvres, les riches parce que riches.
    Mépriser les blancs parce que blancs, les noirs parce que noirs, les jaunes parce que jaunes, les albinos parce qu'albinos...
    les vieux parce que vieux,
    les jeunes parce que jeunes,
    les intellos parce que trop intellos,
    le populo parce que trop populaire...
    Tant de mépris... Pourquoi ? Peut-être pour partie parce qu'on se sent soi-même méprisé(e) ?...
    Peut-être aussi parce que le monde est compliqué, mais que nous avons une tendance naturelle à rechercher des réponses simples ?...

    Puis passer du mépris à la haine.

    Cet autre que l'on méprise, on ne tarde pas à le voir responsable des problèmes du monde, puis rapidement de NOS propres problèmes.

    Cela nous décharge de nos propres responsabilités, nous évite d'avoir à penser, à pondérer.

    Il faut dire aussi qu'on ne nous l'apprend pas, et qu'en plus de cela notre environnement sémantique n'est pas vraiment dans cette ambiance. Simplifier, caricaturer, fournir des coupables est beaucoup plus facile à faire. Plus facile, donc rentable... mais plus toxique.

    Lorsque la pression monte trop, cet autre, méprisé, haï, devient un défouloir émotionnel bien pratique, un moyen de décharger à peu de frais notre colère et nos frustrations de ne pouvoir maîtriser ce monde. Mais cela ne résout rien. Cela aggrave au contraire les problèmes.