Un article de 2016, mais une info qui n'a pas d'age : Et si l'arme fatale pour venir à bout du frelon asiatique était la poule noire de Janzé ? La découverte d'un agriculteur breton vient de lui valoir un prix: L'article du Parisien !
Mots variés sur choses diverses - Page 11
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"Ces poules qui décapitent les frelons asiatiques"
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Langages et intelligence
Les langages sont des éléments fondamentaux de l'intelligence.
Ils sont des systèmes de représentation (et de simplification) permettant de "manipuler" au niveau de la pensée des états/objets/événements sans avoir besoin de les reproduire.
Le terme "big bang" par exemple : en deux mots, vous résumez une hypothèse représentant un ensemble possible d'événements d'une complexité inouïe, à des échelles impossible à percevoir pour un.e humain.e ordinaire.
Ces mots/symboles sont généralement associés à d'autres mots/symboles, accroissant encore la complexité potentielle, souvent en ajoutant des points de vue individuels qui font intervenir d'autres hypothèses. On peut associer au "big bang" le mot/symbole "dieu" par exemple. Cela accroit la complexité des idées en jeu dans l'équation à un niveau absurde.
Prenons le mot/symbole "liberté". Lorsque vous vous promenez dans la rue, vous ne pensez pas forcément que vous exercez une liberté que ne connaît pas le prisonnier. Il est naturel pour vous de vous balader, alors que cela représente une grande liberté pour une autre personne...
Dans l'intérêt de l'#IntelligenceHumaine, il faut se rappeler que les mots sont des valises, des valises pleines de mots pour les définir, et que tout le monde ne "remplit" pas exactement de la même manière. la définition d'un mot est un ensemble qui comporte une partie commune (celle que l'on trouve dans le dictionnaire) et des parties "floues" que l'on ne peut préciser qu'en s'intéressant au contexte d'utilisation.
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Pour plus d'intelligence humaine #IntelligenceHumaine
Un véritable lavage de cerveaux techno-global veut nous pousser à croire qu'il ne peut y avoir d'intelligence qu'artificielle.
C'est une aberration, à but principalement commercial: ces prétendues "intelligences" ne seront pas gratuites. Ce sera des logiciels qu'il faudra acheter...
Ce blogue a pour objectif de fournir, dans les limites de mes capacités, quelques éléments d'intelligences. Modeste, hein ! ;-)
Un des principes de base est : "Le mot n'est pas la chose".
L'idée que l'on se fait du monde n'est pas la monde.
Les théories sur la réalité, les équations ne sont pas la réalité.Ce qui peut sembler une évidence ne l'est pas tant que ça. Nous avons une tendance à confondre nos mots avec la réalité, à croire que ce que nous disons EST véritablement la réalité, ou au moins une représentation exacte.
C'est là une erreur.Cela ne veut pas dire que le langage est "faux" ou "mensonger". Il est... autre chose. Une représentation, une simplification.
La photo d'un objet n'est pas l'objet lui-même, c'est bien évident.
Les mots utilisés pour décrire l'objet sont une "photographie verbale" encore plus floue qu'une vraie photo.Dans l'interêt de l'#IntelligenceHumaine il conviendrait de ne pas prendre nos mots au pied de la lettre.
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L'enfumage de l'écologie compatible avec la croissance
"[...] Certes, la transition écologique implique de forts investissements verts, mais pas sur le long terme. Réduire de 50 % les émissions de CO2 à l’échelle mondiale en 10 ans, on n’y arrive pas avec la croissance et la technique, mais seulement par un changement de comportements et de civilisation. L’écologie dite positive, compatible avec la croissance, est un mirage. On ne peut pas échapper à la décroissance. De même, on ne peut pas tout recycler. L’efficacité du recyclage reste conditionnée au volume de matière entrante. Or on ne recycle jamais la totalité de ce qui entre. Et avec la croissance, on cherche à augmenter toujours plus les quantités entrantes. Cela ne marche pas, même dans une économie circulaire. [...]" (Source)
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"Le marché contre l'humanité"
La démocratie, c'est " une personne, une voix ".
Le marché, le capitalisme, c'est " un dollar, une voix "
Plus tu as de $$$, plus tu as de voix.
Le capitalisme détruira la démocratie.
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La violence, c'est avant même l'école...
En ce temps de refus des violences faites aux femmes, j'entends de temps en temps qu'il faut commencer l'éducation des enfants "dès l'école".
C'est à mon avis bien plus tôt que ces comportements sont intégrés par l'enfant, bien avant d'arriver à l'école. Les enfants sont des "éponges" qui absorbent leur environnement, et en font la base de leur manière future de comprendre/évaluer le monde.
Si dès vos premiers mois, vous êtes habitué.e à des relations violentes dans la famille, vous avez de bonnes probabilités de reproduire ces même comportements une fois adulte. Ils vous paraîtront naturels sans même que vous en sachiez la raison. Il n'y a rien de plus facile que de se laisser aller dans le sens de ses "pulsions", de ses hormones, de ses réactions les plus brutales et ce d'autant plus que vous y êtes habitué.e dès le le plus jeune age.
C'est une manière de "cercle vicieux" qu'il faut couper, à l'école bien sûr mais aussi dans les formations en intelligence psycho-sociale données au parents.
Ah, comment, les "formations en intelligence psycho-sociale", ça n'existe pas ?
Dommage.
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On ne règle pas des problèmes planétaires avec des solutions nationales
Le climat, les pollutions, l'économie trans-nationalisée, les mouvements politiques sans frontières, des déplacements des peuples...
L'addition des nationalismes ne fera qu'aggraver les problèmes.
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Réductionnisme et spécialisation
Quand on a la génétique comme seule théorie et crispr/cas9 comme seul outil, tous les problèmes
semblent solubles dans le tripotage d'ADN. -
Intelligence
Ceci est une petite réflexion personnelle autour de la question de l'intelligence, qui est très médiatisée par l'entremise de l'industrie informatique.
Disons que l'intelligence est faite de plusieurs composantes en interactions:
- Il y a les "données", c'est-à-dire la "réalité", faite d'objets (humains, arbres, de l'eau...) et d'événements (quelque chose arrive),
- Il y a les relations entre ces "données", dont l'existence est rarement accessible à notre système de perception ordinaire,
- Il y a des symboles (mots, théories, équations, suppositions au doigt mouillé...) qui sont en général l'expression de ces relations "invisibles" entre les "objets". Ces symboles, produits d'une intelligence, peuvent devenir eux-même des "objets" à partir desquels on peut, à nos risques et périls, baser une réflexion.
Je distingue arbitrairement 2 types d’intelligences, la (1) et la (2).
L'intelligence(1) intervient au niveau de la compréhension, la détermination de ces relations. C'est principalement la science, qui tente de déterminer le "pourquoi" des choses, c'est-à-dire de déterminer des relations entre des objets/événements/symboles. (je laisse de côté les hypothèses religieuses parce qu’invérifiables, et dont la discussion relève de la perte de temps)
Ce que découvre l'intelligence(1) est aussi (plus ou moins) valide au moment de la recherche. C'est du savoir passé, en général reconstitué de manière réduite dans des expérimentation en laboratoire (qui font perdre beaucoup d'interactions possibles, inconnues puisque le sujet étudié n'est pas non plus connu. On prétend retirer du champ de l'étude tout ce qui ne SEMBLE pas pertinent, mais comment peut-on vraiment déterminer cette pertinence, sinon par des a-priori plus ou moins arbitraires)...
Mais cela ne s'arrête pas là, puisqu'après la compréhension il y a l'action, la modification de la réalité. Apparemment, les humains ne cessent pas de vouloir changer ("améliorer") les choses.
L'intelligence(2) est la (capacité de) mise en oeuvre du savoir acquis pour atteindre un objectif différent de ce que serait la "réalité" des relations sans intervention extérieure.
Cette intelligence(2) implique un objectif précis qui consiste en général à devoir résoudre "un "problème".
L'intelligence(2) se base entièrement sur les savoirs acquis par l'intelligence(1), et donc déjà anciens. Si celle-ci s'est trompée, a fait quelques erreurs ou omis des paramètres importants, ces problèmes viendront compliquer la situation *réelle* finale en créant des effets "secondaires" indésirables (et souvent cumulatifs).
Autre point important: les pré-conceptions plus ou moins conscientes de la recherche (intelligence(1)) vont conditionner la totalité du processus.
A partir de la même masse de données (bigdata), des spécialistes différents vont extraire uniquement ce qui intéresse leur spécialité.
Un exemple simple: Un médecin et un policier dans une manifestation, qui font preuve d'intelligence(2). Le policier va rechercher les armes et les actes violents, quand un médecin recherchera les gens blessés. Les données sont les mêmes mais les actions de chaque intelligence sont différentes, tout autant que les résultats.
L'objectif qui pilote l'intelligence(1) conditionne à la fois la sélection basique des données tout autant que le résultat final (car tout est lié dans un continuum).
L'intelligence(2) est conditionnée par les production de l'intelligence(1), tout comme la technique est conditionnée par la science.
"L'intelligence artificielle" relèvera, lorsqu'elle sera un peu plus au point qu'aujourd'hui - et si on y parvient jamais - une intelligence de type (2). Elle utilise des algorithmes qui sont l'expression logique du savoir relationnel découvert par l'intelligence(1), algos eux-même susceptibles de contenir des erreurs, et donc par des humains.
Cet ensemble de relations est soumis, comme le reste, à la complexité de la réalité qui ne cesse de changer à tous les niveaux (ne serait-ce que par les changements induits par la technique-intelligence(2)).
Le savoir d'aujourd'hui sera possiblement obsolète demain.
Si vous modifiez la "réalité" à partir de ce savoir, soyez prêts à revenir sur ces modifications, ou payez-en les conséquences.
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Appel contre Amazon et son monde
L'appel est à signer ici.
#StopAmazon #VendrediNoirpourAmazon #GreenFriday